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J’éternue
Et perds de vue
L’alouette.
Sugawa Yoko

( 1701 )
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Occupé à transplanter les pousses
Il va pisser dans la rizière
Du voisin.
Sugawa Yoko

( 1701 )
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En montagne, averses hivernales
En plaine, on arrache les radis énormes
C’est la vie.
Sugawa Yoko

( 1701 )
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Première neige de la saison -
Jusqu’à ce qu’il se familiarise avec elle
Le bambou n’est pas couché.
Sugawa Yoko

( 1701 )
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La vie est-elle courte ?
Il m’a semblé bien long,
Le rêve que j’ai fait.
Sugawa Yoko

( 1701 )
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À ses pieds
On vole les haricots
Ah ! l’épouvantail.
Sugawa Yoko

( 1701 )
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Rompre le parfum
Des ténèbres, elle est blanche -
La fleur du prunier.
Sugawa Yoko

( 1701 )
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Pris dans une douche soudaine
Moineaux de se blottir
Et lutter pour atteindre les feuilles.
Sugawa Yoko

( 1701 )